Lundi 6 avril 1 06 /04 /Avr 22:40

C0022

 

 

 

 

Un peu de moi.

Il n’est pas loin d’une heure du mat, je sors de mon hôtel, un peu pété à la volka, je me promène dans les rues, guider par mes hauts talons de dix centimètres, marchant  à l’aveuglette.

Quelques rues plus loin, je croise deux mecs, rebeu, la quarantaine, ils m’interpellent, l’un vient glisser directement son bras autour de ma taille et me propose d’aller boire un verre dans un café à deux pas d’ici, je me colle un peu plus à lui et accepte leurs invitation.

Le dialogue et léger,  je suis belle, je suis sexy etc., etc., une rousse de 22 ans dans une robe hyper moulante qui lui arrive au ras du cul avec un décolleté d’enfer et sans rien dessous, perchée sur des hauts talons et qui se laisse emballer par les premiers venus, ils sentent la salope à plein nez.

C’est un vieux bar, assez délabré, clientèle d’émigrés, pas de femme excepter moi, les deux mecs qui m’ont attiré ici me présente au patron du bar, Nordine encore un rebeu, maintenant ils sont trois autour de moi, je sens leurs mains m’effleurés par-ci, par-là, je commence à me coller à eux tout en discutant, mes mains aussi commencent à se poser sur eux, par-ci, par-là.

C’est fait, les trois mecs sont contre moi, l’un embrasse à pleine bouche, j’ondule des fesses en sentant des mains se glisser sous ma robe, mes mains caressent leurs entrejambes, ils me malaxent de leurs grosses mains la poitrine, ma bouche à changer de bouche, des doigts pénètrent ma chatte toute mouillée.

Toute la clientèle du bar c’est rapprochés pour mieux mâter, ma micro robe est retroussée sur mes hanches, la poitrine, le cul et la chatte à l’air, Nordine m’agrippe par les cheveux et me pousse en avant, me présentant  à sa clientèle, les mecs sortent leur IPhone et me prennent en photo, je suis exhibée comme une chienne, ça m’excite grave, certains tendent leurs mains et me touchent par-ci, par-là, Nordine leur parle en rebeu, ça parle, ça braille, je ne comprends rien, Nordine me tire vers une cour extérieur, là il ouvre une porte, une petite remise.

A genoux, je suce Nordine et trois autres lascars, superbes bites très appétissantes, des comme ça j’en redemande, je les sucent goulument une à une, tout en suçant je me redresse sur mes jambes, j’ondule du cul, je suis prête, Nordine passe le premier, directement et profondément dans le cul comme je le souhaitée, il se met à me limer le cul comme un sauvage, je gémit comme une folle, il a ouvert la voit pour les autres, il passe mon cul à un autre, je suce et je gémit, Nordine et les trois lascars m’éclatent le cul, je suis folle d’excitation, ils me remettent à genoux et je les finis en les suçant un à un, je prends leur sperme en plein visage, ils me remplissent la bouche, j’adore ça, maintenant je vais surement servir de pute pour tous les autres agglutiner devant la porte de la remise et qui n’ont rien perdue du spectacle.

Je suis une habituée de ce genre de plan, c’est pas la première fois ou je sers de pute, moi qui a encore envies de bites ça serais con de pas en profiter, il y a un vingtaine de mecs, tous types, blancs, rebeus, blacks et deux asiatiques, Nordine reste à l’extérieur, c’est lui qui fait entrer les mecs un à un, quand il fait entrer un mec, il fait un code avec sa main, un doigt, je suce, deux doigts, je me fais baisser par la chatte, trois doigts, le mec veut me défoncer le cul, la plupart ont opter pour mon cul, il y a une bonne vingtaine de mecs, un par un à chacun son tour, je les vide en essayant d’avaler le plus possible leurs chaud nectar, Nordine me félicité, je suis contente, à l’aube, je rentre chez moi le cul éclaté comme je l’aime.

 

Je retrouve George au lit, il dort, c’est normal à bientôt 57 ans, ce n’est plus de son âge, je lui raconterai demain, ça va encore l’énerver que je ne l’ait pas invité mais il dormait déjà quand je suis sorties hier soir, il va surement me corriger avec sa cravache, j’aime bien ça mais ça laisse souvent des marques, un ou deux jours, des fois certains mecs qui ne sont pas habitués, quand ils voient des marques de cravache sur mes fesses, ça leur coupe l’envies, c’est con pour eux et pour moi aussi.

 

George, c’est un homme de cinquante-six ans, bien foutus, autoritaire, plutôt mac, c’est lui qui m’héberge, je le connais depuis très longtemps, c’est un amis de mes parents, ce n’est pas la première fois qui me prend en charge, ça l’arrange même d’avoir une salope à porter de mains, je lui sers de vide couilles pour lui et ces potes qui n’arrêtent pas l’aller et venir, il adore me voir avec d’autres hommes, ça l’exciter et moi aussi, je vous raconterais plus tard tout cela.

 

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Par flodu75 - Publié dans : salope
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